Bienvenue sur ma page de veille technologique.
La veille technologique consiste à surveiller les évolutions dans un domaine spécifique afin de rester informé des innovations, des usages émergents et des risques potentiels. Parmi les technologies les plus impactantes aujourd’hui, l’intelligence artificielle (IA) occupe une place majeure. Elle transforme de nombreux secteurs comme la santé, la finance, l’éducation ou encore la cybersécurité.
Mais cette évolution soulève de nouvelles problématiques, notamment en matière de protection des données personnelles. Comment garantir la transparence des algorithmes ? Peut-on entraîner une IA sans porter atteinte à la vie privée des utilisateurs ? Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) vient justement encadrer ces pratiques.
À travers cette veille, je me suis intéressé aux enjeux éthiques, juridiques et techniques liés à l’utilisation des données personnelles dans les systèmes d’intelligence artificielle.
🎯 L’objectif de cette veille est double :
Comprendre les fondements de l’intelligence artificielle.
Analyser comment les principes du RGPD s’appliquent à cette technologie.
Cette analyse s’appuie sur des sources fiables, telles que la CNIL, des cabinets spécialisés et des exemples concrets. Voici les outils que j'utilise pour ma veille technologique.
L’article de la CNIL propose une définition claire de l’intelligence artificielle, en expliquant les différentes formes qu’elle peut prendre. Il illustre son usage au quotidien et met en lumière les risques associés, notamment les biais, les erreurs et le manque d’explicabilité de certains systèmes.
Dans cet article, la CNIL propose des recommandations pour encadrer l’usage de l’IA tout en respectant le RGPD. Elle rappelle que les principes du RGPD (comme la minimisation des données ou la transparence) restent applicables, mais doivent être adaptés aux spécificités des systèmes d’intelligence artificielle. L’article insiste sur l’importance d’informer les personnes concernées et de leur permettre d’exercer leurs droits, même si cela peut être techniquement complexe. La CNIL encourage une IA conçue dès le départ dans le respect des libertés fondamentales.
Cet article met en lumière les enjeux juridiques liés à l’utilisation de l’IA, notamment en ce qui concerne le traitement des données personnelles. Il explique que l’IA repose sur de grandes quantités de données, parfois sensibles, ce qui rend essentiel le respect du RGPD. On y retrouve les bases légales du traitement (comme le consentement ou l’intérêt légitime) ainsi qu’un rappel des principes fondamentaux du RGPD. L’article évoque aussi l’arrivée du futur AI Act européen, qui viendra compléter le cadre juridique actuel. Il en ressort qu’une IA éthique et conforme est possible si elle est conçue dès le départ dans le respect des règles.
Le Comité européen de la protection des données (CEPD), qui réunit les CNIL européennes, a adopté un avis sur le traitement de données personnelles traitement de données personnelles Un traitement de données personnelles est une opération, ou ensemble d’opérations, portant sur des données personnelles, quel que soit le procédé utilisé (collecte, enregistrement organisation, conservation, adaptation, modification, extraction consu...) En savoir plus pour le développement et le déploiement de modèles d’IA. Il s’agit de la première position européenne et harmonisée en la matière
Dernièrement, les éditeurs d'intelligence artificielle (IA) sont sous le feu des projecteurs pour leur gestion des données personnelles. Les systèmes d’IA, basés sur l’apprentissage automatique, dépendent souvent de volumes massifs de données, dont beaucoup sont des données personnelles. Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) impose des obligations strictes en matière de transparence, de licéité et de respect des droits des individus, obligations qui s’appliquent pleinement aux technologies d’IA génératives.
L'autorité italienne de protection des données (GPDP) a annoncé vendredi qu'elle avait infligé une amende de 15 millions d'euros à l'entreprise américaine OpenAI pour avoir frauduleusement fait utiliser des données personnelles.
la CNIL a condamné la société américaine Clearview AI à une amende de 20 millions d'euros pour Collecte massive de photos sur Internet sans consentement
L’intelligence artificielle transforme profondément notre société, en automatisant des tâches complexes et en améliorant la prise de décision dans de nombreux domaines. Cependant, cette évolution s’accompagne de risques majeurs pour les droits et libertés des individus, notamment en matière de protection des données personnelles. Le RGPD, en tant que cadre juridique de référence en Europe, joue un rôle essentiel pour encadrer les traitements opérés par les systèmes d’IA. Il impose des principes clés tels que la transparence, la minimisation des données, la licéité du traitement, et le respect des droits des personnes concernées. Les recommandations de la CNIL, les décisions des autorités de contrôle, ainsi que les exemples concrets d’actualités démontrent que la conformité RGPD n’est pas une option mais une nécessité stratégique pour toute organisation qui développe ou utilise de l’IA. À l’avenir, il sera primordial que les concepteurs d’algorithmes et les entreprises s’approprient pleinement ces règles, afin de garantir une IA éthique, responsable et respectueuse des droits fondamentaux.
Ce financement vise à augmenter la productivité du secteur tout en réduisant le nombre de fonctionnaires
GPT-2, sorti en novembre 2019, était largement passé sous les radars à l'époque, le boom de l'IA générative n'étant pas encore arrivé. Premier modèle à poids ouvert publié par OpenAI, il pourrait désormais connaître son successeur.
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DuckDuckGo introduit l'intelligence artificielle dans son moteur de recherche. Une nouvelle plateforme voit également le jour et permet d'utiliser différents modèles d'IA sans s'inscrire.
Google annonce le lancement de son mode IA. Celui-ci consiste en une extension de l'aperçu des réponses, lui-même déjà généré par l'intelligence artificielle.
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Créée en mai par trois experts français de l’IA, formés à Polytechnique et à l’ENS, la société d’intelligence artificielle est désormais valorisée à quelque 2 milliards de dollars.
